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À l’approche des municipales, Laurence Ruffin esquisse les contours d’un nouvel imaginaire : le municipalisme coopératif, pour redonner la ville à ses habitants et protéger nos communs.
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Il repose sur l’idée que la ville est le lieu privilégié pour faire vivre la démocratie. Coopérer, c’est prendre au sérieux le rôle que des citoyens, élues et élus mais aussi associations, entreprises, syndicats, etc., peuvent endosser dans la décision.
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Inspirée par des expériences comme Barcelone en commun, Bologne ou Preston, cette approche invite à concevoir la municipalité non plus comme un opérateur exclusif, mais comme un chef d’orchestre, capable de mobiliser l’ingéniosité et l’énergie des habitants.
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Vous trouverez cette note à la Fondation Jean-Jaurès
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